www.laclarenciere.be
Théâtre Littéraire Bruxelles

Du 8 au 30 juillet 2009

Par un matin brumeux, Igor l'Ourson polaire, est repêché sur un îlot flottant, un tout petit îlot de glace ! Il est recueilli par des mariniers. Il a chaud, il a soif, il est perdu ! Il arrive de l'Arctique après un long voyage fatigant. Les mariniers le soignent et l'amènent sur terre. Là, Igor va rencontrer l'insouciante petite écolière Amélie un dimanche matin, jouant dans sa chambrette d'enfant !
S'ensuit alors une longue conversation qui va tisser des liens d'amitié entre l'Ourson et la Fillette et amener une réflexion sur les enjeux du réchauffement climatique et l'espace qu'on souhaite garder pour les générations futures.
Une fable douce qui balaie toutefois la bêtise et la vénalité humaine avec tendresse et humour. Un message pour les générations qui peuvent encore limiter les dégâts et préserver notre si jolie planète !
A consommer en famille, écologiquement...

Par : Tatiana Manent et Pierre Semard
Mise en scène :Tristan Moreau
Assistanat à la mise en scène : Magali Genicq
Texte : Fabienne Govaerts
Scénographie et visuels : Damien Paul Gal
Production : Théâtres La Clarencière/Le Verbe Fou

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Pour   la   première   fois   réunis   au   sein   de  cette   formation,   c'est   une   première  mondiale   pour   les   musiciens de  RROMAK,   que   la   Maison   de   la   Culture d’Arad   (Roumanie)   vient   présenter   au  public du festival d’Avignon.

Formé  de  7  musiciens  et   de  3  danseurs  professionnels,   le   groupe   est   le   premier à   introduire   dans   un   spectacle  d’envergure,   un   texte   dans la   langue 
romani (la langue officielle de la minorité 
‘rroma’, ou tzigane) 

Composition du groupe :
Lavinia Raducanu – chanteuse soliste
Gabi Muzicas  junior – guitare solo
Gabi Muzicas  senior – guitare harmonie
Sandor Patay – violon
Manga Zoli – violon
Mihai Vastag – contrebasse
Loredana Onet – back ing vocals
Ias mina Martinescu – danseuse
Anca Funariu – danseuse
Adina Ionescu – danseuse

Du 8 au 31 juillet 2009
Par le Théâtre du grand Complot et la Compagnie sur le Fil

Un homme et une femme cloîtrés dans leur petit appartement se font la guerre des ménages. Dix-sept ans que ça dure.Dehors aussi c'est la guerre. Mais ça ne change rien.
Jusqu'à ce que la folie du dehors entre par les portes et les fenêtres. La paranoïa les guette.
La valse absurde des petites manies devient explosive.
Le quotidien se décale à coups de grenades, de tortues et de limaçons.

Une comédie délirante et absurde qui décline le thème du conflit sous toutes ses formes.

Un spectacle du Grand Complot en coproduction avec la Compagnie sur le Fil et le Verbe Fou.

Avec Xavier Campion et Florence Roux
Mise en scène: Vinciane Geerinckx

Par la Cie La Môme perchée

Spectacle écrit et interprété par Delphine Orléach dans une mise en scène de Julien Lubek.
Un paravent, des costumes fait de bric et de broc et une comédienne, physionomie et voix protéiformes, qui raconte l'histoire d'une petite fille, prénommée Sheila, qui, cloîtrée dans la chaufferie, joue du ciseau, d'abord sur son chien souffre douleur, puis sur sa mère alcoolique qui l'élève dans le ressassement de sa maternité non désirée, résultat d'une nuit de bamboche, ce qui entraîne son placement dans un institut médico-éducatif.

Avec "Des hématomes dans la chaufferie", titre inspiré à double sens, Delphine Orléach a conçu un spectacle atypique, inattendu et particulièrement réussi, un monologue à plusieurs voix qui plonge de manière burlesque, par le regard d’une enfant, dans les dérives mentales d'une humanité subissant le dérèglement sociétal : à l'exception du chien, seul rescapé qui a trouvé son paradis à la SPA, nous sommes tous des psychotiques. Et parfois, il ne faut pas chercher bien loin les causes.
Cette création sur l'enfance et le borderline, à la fois poignante et roborative, ce qui n'est pas, en l'occurrence, antinomique, dans la mesure où il ne s'agit pas d'un spectacle qui fait du Zola, ni d'un lamento mortifère, puisque y souffle une immense énergie vitale, et surtout un incroyable amour de l'autre, qui laissent croire que tout n'est jamais irréversible, évoque les contrées psychiques explorées par Zouc, humoriste suisse qui connu la notoriété dans les années 70.
Comme disait Raymond Devos, phrase que Delphine Orléach cite en exergue de sa note d'intention, "du moment qu'on rit des choses elles ne sont plus dangereuses". Car ses personnages créatures font rire aussi, d'un rire archaïque et cathartique. Pour changer, peut être également, notre regard.

MM - www.froggydelight.com

Du 8 au 31 juillet

Spectacle musical tout public
Compagnie Mamaille

Hélène et Ivan chantent les Classiques

auteurs : Schubert, Berlioz …

Fauré, Schubert, Pergolèse -et bien d’autres- enfin revisités en variété-pop !
Hélène et Ivan nous offrent leur version décalée, drôle et toujours passionnée de ce répertoire immortel. En habit de gala, débordés par un naïf enthousiasme, ils rendent l’hommage résolument moderne qu’attendaient les maîtres du passé, tous morts, hélas !
Le duo de personnages est imprévisible et généreux. Ils ont goûté à la liberté de ton et savourent leur joie en l’offrant au public, non sans certains excès parfois. On les découvre alors, touchants, entiers, amoureux.

Interprètes : Hélène Géhin, Ivan Gruselle
Mise en scène : Hélène Géhin et Ivan Gruselle
Lumières : Delphine Prillard

Depuis 2001, la compagnie Mamaille propose des spectacles musicaux allant du solo à l’orchestre dont la couleur est emprunte d’humour, de références stylistiques, d’improvisation musicale et scénique.
Mamaille est soutenue par le Conseil Régional de Lorraine et la DRAC Lorraine.

Avec : Hélène Géhin et Ivan Gruselle
Production : Compagnie Mamaille
http://www.myspace.com/helenegehin

Du 8 au 21 juillet 2009
Les petites femmes de Maupassant
de Roger Défossez, d'après les récits de Maupassant
Par la Compagnie du Théâtre Pouffe

Avec : Christine Guintrand, Geneviève Trisse, Christiane Cheruel et Josiane Biot
Mise en scène de : Viviane Gontero

Elles arrivent une à une, virginales, quel que soit leur âge. Seule présence masculine sur le plateau, un portrait d'homme, joliment moustachu. Les hommes, on ne les voit pas mais on en parle. On ne parle que d'eux. Des aventures extra conjugales : celles là au moins on peut les choisir ! des visages entrevus, des mots échangés, des souffles, des caresses, des étreintes, des avantages de la moustache qui donne du goût aux baisers.
Quatre femmes s'accordent une " parenthèse enchantée ".
Céleste, baronne de Grangerie, invite dans sa villa au bord de la mer son amie la comtesse de Rennedon, sa nièce Coralie, escortée par une amie d'enfance Charlotte, dite Zoé, comédienne. Ces dames ont abandonné leur mari pour se ressourcer entre femmes. Cette lierbté retrouvée leur permet de raconter leurs problèmes de couple, d'apprécier l'estime qu'elles portent, malgré tout , à leurs époux... et aux hommes en général !
Des confidences entre espoir et résignation.
Avec beaucoup d'humour et de tendresse acide, elles nous invitent dans leur univers feutré, loin des difficultés de la vie du XIXème siècle.

A partir de récits de Maupassant, Roger Défossez évoque leurs aventures charmantes, parfois coquines ou frivoles, mais regardées sans complaisance, sous une apparente légèreté.

Du 22 au 31 juillet 2009
Compagnie Du Pain Sur Les Planches
Avec Tania Tchénio. Mise en scène : Eurydice El-Etr.

Un conteuse, des vers du XVIIème siècle.
Une galerie de personnages croqués avec humour et malice et qui tous rendent les armes sur l'autel du Plaisir.

Depuis sa création, en 2006, la compagnie Du Pain Sur Les Planches a mis en place différents projets engagés artistiquement et socialement.
Ses activités sont variées : création et diffusion de spectacles pour adultes, adolescents, enfants, ateliers tous publics, pièces« voyageuses » à jouer à domicile ou in situ...

www.dupainsurlesplanches.fr

De et par Richard Bohringer.
« J’ai appris à écrire sous une tonnelle de roses blanches débouchant sur un potager fleuri où les vers acides des poireaux se mélaient aux rouges anémiés des carottes trébuchantes. J’ai appris à écrire sous une tonnelle blanche la nuit, dans le silence, à la limite du cri, et mon cœur battait aux rythmes des mots jetés comme des paysages dont la flamboyance me laissait pantelant…

L’écriture est la seule vérité. Etre vertical. Jeter les germes de l’amer. Trouver le son qui fera rebondir. L’inspiration court comme un nuage. Vite et sans remords. Le désespoir d’écrire devient cristal. Les cannibales de la mémoire font tomber les larmes sur le clavier. Ecrire. Dieu païen, aide ton serviteur. Donne-moi l’oiseau bariolé. Celui qui aide à souffler la page blanche. Ma révolte. Mon drapeau d’amour.

Je veux écrire de la musique avec les mots. Je veux être guitare héros…Je suis pas un gars de la syntaxe. Je suis de la syncope. Du bouleversement ultime. Je me fous du verbe et de son complément. Faut pas faire le malin avec les mots. Faut les aimer. Ca file du bonheur les mots. »

Richard Bohringer.

Traîne pas trop sous la pluie.
Un voyage.
Un voyage au pays de sa mémoire, un move dédié à l’Afrique, aux amis, morts ou vivants, aux femmes, à l’alcool, aux errances.
Tel un boxeur sur le ring, l’émotion à fleur de peau, il nous fait voyager de textes en textes, dans cette atmosphère que lui seul sait créer.

Du dimanche 12 au dimanche 31 juillet 2009, relâche le 20 juillet
Séance de dédicaces le lundi 20 juillet
De et par Richard Bohringer
Production : Bohringer R./Verbe Fou/Clarencière
Diffusion : La lune dans les pieds

Du 10 au 27 juillet - relâches les 13, 20 et 21 juillet
Exposition des photographies de spectacles de Heiner Muller aura lieu à la Mirande, le vernissage sera justement le 12 à 12h00

La Trilogie :
Rivage à l'abandon, Médée - Matériau, Paysage avec Argonautes
de Heiner Müller

" Poète des déchirures du siècle", Müller trouve en Médée l'objet de la réflexion théâtrale sur la folie destructrice de l'âme, sur la douleur et sur l'oubli. Heiner Müller brasse les résidus du mythe et de l'histoire à travers une écriture fragmentaire. Les mots brûlent le cerveau, les mots brûlent la raison.
Médée, la femme sauvage, c'est notre âme sauvage, elle se trouve au-delà du monde connu, il faut qu'on la retrouve, qu'on la comprenne.

La douleur est la matière d'une poésie exceptionnelle du texte ainsi que l'occasion d'une expérience émotionnelle d'une forte intensité pour les comédiens.

La trilogie Médée-Matériau continue un travail de plusieurs années en équipe sur les textes de Heiner Müller, Büchner et Thomas Bernhard.

Avec : Camelia Maxim, Jozsef Biro, Dan Badarau, Istvan Teglas, Meda Victor, Ioana Marchidan, Raluca Vermesan.
Mise en scène : Dragos Galgotiu
Décor : Andrei Both
Costumes : Doina Levintza
Production : Centre Culturel Otopeni de Roumanie

Charlie Léone,
Du 8 au 31 juillet


Joue & chante

L’Amoureuse 
ou
l’Echappée Belle

De et par Charlie Léone,
Auteur compositeur interprète, lauréate au concours national 2009
de la chanson d’expression française, organisé par la SACEM.

1er prix du concours, Prix du public et Prix «coup de cœur» pour l’interprétation.

Guitares : Didier Alix.
Violons / Percussions : Laurent Lovie.

« Elle a magnifiquement et subtilement observé nos rencontres,
avec leurs cortèges sensibles d’arrivées, de départs,
et les interprète avec un engagement bouleversant »
La Tribune

« Charlie Léone, retenez ce nom...
Elle pourrait bien se hisser à la table des plus grandes dames
de la chanson française …»
Eric Baelde, Directeur Centre Dramatique CABD

« Textes originaux, tendres et percutants.
Energie, Charisme et Sensualité à couper le souffle. »
Christian Jeanmart, cofondateur Festival du Conte de Bourdeaux.

« (…) un moment rare, on vous disait ! »
Le Dauphiné Libéré

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