du 9 au 31 juillet 2013 - Les jours impairs
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Du 8 au 31 juillet 2013
Un acteur seul dans sa loge se prépare à monter sur scène pour jouer Cyrano. Mais avant le lever de rideau, il revisite les 5 actes de la pièce et endosse tous les rôles : Cyrano, Roxane, De Guiche, Christian, le vicomte de Valvert, Montfleury le bret ...
Mises en situations cocasses, drôles et touchantes qui nous ouvrent les coulisses d'une représentation de Cyrano telle que vous ne l'avez jamais vue.
Le comédien fait participer le public et le jeu de la tirade des nez devient interactif.
La scène mythique du balcon est orchestrée par la présence de marionnettes qui donnent à l’ensemble force et poésie, éclairée par la musique de Mozart.
L’œuvre d’Edmond Rostand, par cette adaptation originale, est à découvrir car elle offre aux spectateurs une approche émouvante, pleine de fantaisie et de panache à un public de tous âges.
Auteur : d'après Edmond Rostand
Adaptation et mise en scène : Frank Bertrand
Interprétation : Patrick Guichard
Production : Compagnie des auteurs acteurs
Site : www.patrickguichard.fr
Contact :
guichardpat@wanadoo.fr
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Quatre nouvelles surprenantes : La serre, Imprudence, L'enfant et Sauvée, composent le spectacle : " Un goût de baisers sous les étoiles ".
Quatre histoires de couples avec leurs travers et leurs passions et des portraits de femmes pétillantes ou émouvantes, graves ou effrontées, étonnamment modernes, libres d'aimer.
C'est le texte intégral. On se laisse bercer par les mots limpides de Maupassant, on rêve...
Puis rebondissements et suspense nous tiennent en haleine. On sourit au bavardage coquin d'un couple, on rit à la stratégie rocambolesque élaborée par une femme pour parvenir à ses fins, on pleure sur le sort d'une maîtresse délaissée...
On pousse la porte de l'intimité de ces couples, on s'y croirait !
Ce réalisme est souligné par le décor raffiné, le costume et les accessoires propres à chaque nouvelle: on est au XIXe siècle mais loin de ses conventions désuètes.
Ces seize personnages incarnés par Anne Marlange nous touchent parce qu'ils nous ressemblent. Aucune distance n'est suggérée, ils sont intemporels.
Auteur : Guy de Maupassant
Interprétation et mise en scène
: Anne Marlange
Régie : Patrice Marlange
Production : Laventurine
Dossier de presse
Vidéo de présentation
Site internet : http://www.laventurine.net
Contact : laventurine@free.fr
14 € Plein Tarif –10 € Tarif carte off
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Donec Adire - A la rencontre de Baudelaire
Du 8 au 19
juillet 2013 -
Création Festival d’Avignon 2013
Un voyage sensoriel dans le monde de Baudelaire. Quelque part entre le théâtre et le concert, le spectacle propose un univers sonore constitué de sons, de musiques, de mots, les textes provenant des « Fleurs du Mal » et du « Spleen de Paris ».
Il relate un moment de la vie de Charles Baudelaire. Le poète a été envoyé aux Indes sur un bateau pour l’éloigner de la vie dissolue qu’il menait aux yeux de ses parents.
En suivant la chronologie du périple, cette invitation au voyage (« donec adire » en latin), témoigne de la vie intérieure du poète, souvent traversée par des sentiments extrêmes, de la mélancolie à l’extase.
Un spectacle proposé par « Blanc de Seiche »
- Auteur : Charles Baudelaire
- Interprétation et Mise en scène : Hubert Barbier
- Interprétation musicale et installations sonores : François Lamy - guitare préparée, cor de chasse, boîte à musique, synthétiseurs
- Production : Compagnie du Pître blême
14 € Plein Tarif –10 € Tarif carte off
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Du 20 au 31 juillet 2013
Pierre Nicot, compositeur, auteur de poèmes, de chansons, de pièces de théâtre, a eu Bourvil parmi ses interprètes. C’est aussi un chansonnier : Henri Tisot, célèbre imitateur du général de Gaulle, qui lui enregistra ‘’La pêche avec 2 gaules !’’
Adjoint à la culture de sa ville, il a fait jouer en Avignon, la pièce ‘’Love’’ mise en scène par Marc Lesage aujourd’hui directeur de production du théâtre des Célestins à Lyon, et qui étudia comme lui, la comédie et la régie théâtrale à L’ENSATT (rue Blanche) à Paris.
Pierre Nicot s’est produit dans les cabarets parisiens avec Jacques Boudet, que l’on peut voir aussi en Avignon au théâtre du Petit Louvre.
Son tour de chant est synonyme de bonne humeur et l'on comprend qu’il fut séduit par Trénet, Brassens, Brel, Salvador, et aujourd’hui, Jonas, Grand corps malade, Cabrel.
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Du 8 au
31 juillet 2013 - les jours pairs
Après le succès du Festival 2012, Fahem Abes revient avec ses contes coquins, pour notre plus grand plaisir !
Tantôt récits d’hommes, tantôt récits de femmes,
Ces contes pour adultes nous parlent d’amours et de plaisirs.
Ils sont épicés, colorés, drôles, coquins et doux à croquer.
Issues de la tradition orale, ces histoires éclairent nos désirs et nos fantasmes.
Elles nous embarquent dans un voyage amoureux. A travers ces contes coquins c'est une autre Algérie qui se découvre ... Une Algérie suave, drôle, épicée, irrévérencieuse, libre de paroles, chaude, sexuelle, féministe, une Algérie amoureuse ...
Que ces contes coquins existent est une surprise pour de nombreuses personnes et en premier pour les algériens eux mêmes !
Comment ?
Des Contes Coquins d'Algérie ?
Eh oui mesdames et oui messieurs ces contes existent, ils sont issus de la tradition.
Tradition orale dont je suis fier d'être le porteur.
Porter et vivre le partage de cette Algérie là est un réel plaisir.
14 € Plein Tarif – 10 € Tarif carte off
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Spectacle tout public à partir de 7 ans.
14 € Plein Tarif – 10 € Tarif carte off - 8 € Enfant
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Du 8 au 31 juillet 2013
Une guerre gronde à l'extérieur. Aux frontières de deux quartiers rivaux, un couple enfermé dans sa chambre se querelle autour d'une éternelle question : le limaçon et la tortue, est-ce le même animal ?
Qui délire ici ?
Est-ce le couple qui est délirant ou le monde qui les entoure ?
Qui est le chef d'orchestre ?
C'est l'endroit précis entre délire et réalité que nous souhaitons interroger.
À partir de cette mécanique de langage puissante, exigeante, jubilatoire, presque dénuée d'humanité, il s'agira de dénicher l'imprévisible, déceler les failles qui laisseraient place à l'espoir. Il nous faudra faire resurgir l'humain derrière ces personnages grotesques et assujettis.
" Elle – Et ça va continuer, ça va continuer.
Quand c'est pas la tempête, c'est la grève des chemins de fer, quand c'est pas la grippe, c'est la guerre. Quand c'est pas la guerre, c'est quand même la guerre. Ah ! C'est facile. Et qu'est-ce qu'il y a au bout du temps ?
Nous savons bien ce qu'il y a au bout du temps."
Auteur : Eugène Ionesco
Interprétation : Anne Guégan, Patrick Séguillon, et Jérôme Piques
Son et régie technique : Benoit Favereaux
Lumières : Hadrien Dadvar
Production : Compagnie MaCompagnie
Site : MaCompagnie.over-blog.com
Contact : macompagnie@live.fr -06 60 45 91 06 / 06 82 01 41 34
14 € Plein Tarif – 10 € Tarif carte off
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Du 8 au 31 juillet 2013
Elle a approché Fellini, fait perdre la tête à Rosselini, Pasolini et bien d’autres. Muse du panthéon des réalisateurs italiens, Anna Magnani fut l’une des plus grandes actrices du XXe siècle, perle noire illuminant de sa sensualité magique cinq chefs-d’œuvre : Rome, ville ouverte, Bellissima, La Voix humaine, La Rose tatouée et Mamma Roma.
Guy Naigeon, directeur d’acteurs fasciné par la dimension mythique de cette femme et comédienne, ressent l’impérieux besoin de parler de la Magnani. Aucun texte n’existe. Niente.
Il faut donc écrire pour elle. Il pense à une comédienne pour l’évoquer, une qui en a la trempe : Anna ne peut qu’être Andrée Benchétrit, au timbre de voix sombre et nacré. Celle-ci pense à un écrivain-poète capable de redonner vie à un secret de femme : Bernard Noël possède cette écriture du vécu pouvant remplir l’espace sacré, le vide laissé par Anna Magnani.
De cette langue d’Anna, naît une voix pour dire la passion, celle d’un métier, de la vie, dans un hymne poétique violent et un émouvant hommage rendu à cette sublime pasionaria.
Elle parle. Elle jette sa vie sur sa langue. Elle a toujours voulu tout et tout de suite. Elle est une comédienne célèbre. Elle a beaucoup parlé avec les mots des autres. Elle n’avait pas le temps de sa propre vie, mais voilà que son corps l’a attrapée, l’a même doublée. Elle met du passé dans ce présent trop mortel. Elle appelle ses amis : Fellini, Pasolini, Visconti. Elle sait qu’il est trop tard. Elle ne s’y résigne pas. Elle ne s’est jamais résignée.
Auteur : Bernard Noël
Interprétation et mise en scène : Andrée Benchétrit
Direction d'actrice : Guy Naigeon
Costumes : Patricia Vernadat
Production :
Compagnie Théâtralador
Site : www.en cours
Contact Compagnie : 06 86 94 51 90
Dossier de presse
Vidéo de présentation
14 € Plein Tarif – 10 € Tarif carte off
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Du 8 au 31 juillet 2013. Relâche le mercredi 17 juillet.
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Sa langue cogne, interpelle. Grisélidis Réal : prostituée, révolutionnaire, mère de famille, auteure, peintre, féministe ?
En fuite avec ses deux enfants illégitimes et son amant noir, elle nous embarque dans sa cavalcade drôlement sordide et amou-reusement poétique : entre musique, marijuana, tziganes, clients, GI, putes.
Quelques minutes avant son arrestation pour trafic de drogue, sommée de rendre compte de ses actes dans l’Allemagne des années 60. Que sortira-t-il de cet interrogatoire tendu entre l’Irrévérencieuse et l’Ordre moral.
Interprétation du personnage de Griselidis Réal, adaptation et mise en espace : Julie Allainmat
Interprétation du personnage l'Ordre : Rénald Laban
Figuration : Jérémy Harnay et Arthur Godin en alternance : hommes de main
Création lumières et son : Renaud Gimenez
Adaptation théâtrale du roman autobiographique « Le Noir est une couleur » de Grisélidis Réal
Production : Compagnie des Pas Perdus
Equipe technique : Serge Desmeyteres
Equipe administrative et logistique : Emmanuelle Blanchard-Chillet, Vanessa Stolbowsky, Maggie Pour.
Site :
www.ciedespasperdus.com
Contacts : Benjamin Planchon, chargé de diffusion : 0628702009 ou
Julie Allainmat : 0660761017 - ciedespasperdus@gmail.com
14 € Plein Tarif – 10 € Tarif carte off
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