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Festival

PARADE cliquez ici !

*** Les Verberies de l'été 2016 ***

** Evénement Bernard Yerlès Dimanche 10/7 **

 

**Evénement Patrick Poivre d'Arvor 16/7**

 

**Evénement Jean-Claude Humbert 18/7**

 

** Evénement Vincent Engel mercredi 18/7 **

 

Nous sommes heureux d'accueillir ces personnalités qui vont donner vie à de beaux textes et vous permettront de les découvrir.
Nous les remercions chaleureusement de leur soutien à notre petit théâtre qui vit pour le plaisir des " Mots ".

 


12h12 : Petits rien de la Vie - Bernard Yerlès lecture-spectacle - (1h15)

D'après "Les Petits rien de la Vie " de Grace Paley

Le dimanche 10 juillet 2016


Création festival d'Avignon 2016

" Une douzaine de nouvelles de lecture désopilante. Des histoires de femmes racontées par Grace Paley à la première personne. Une écrivaine qui sait raconter et s'est forgé un style tout à fait personnel "
Nicole Zand - Le Monde

Né à Bruxelles, Bernard Yerlès est un acteur belge bien connu des télé­spectateurs français. Fils de professeurs de français, il développe un goût accru pour le théâtre. Il se forme au métier de comédien à l’Institut National Supérieur des Arts du Spectacle et des Techniques de Diffusion (INSAS) et évoluera dans son pays natal, la Belgique, durant une dizaine d'années avant de rejoindre la France. et interprétera de grands classiques tels que La Cerisaie de Tchekhov en 1984 mise en scène par Michel dezoteux avec qui il travaillera fréquemment, Phèdre ou encore Britannicus de Racine à la fin des années 80 ou Zement (1991) d'Heiner Muller. En 1991, Bernard Yerlès devient artiste résident au CDNA de Grenoble et interprète les pièces suivantes: Marie Tudor(1991) de Victor Hugo, dans une mise en scène de Daniel Mesguich, Trahisons (1999) d’Harold Pinter, mise en scène par David Levaux, La Musica (2005) de Marguerite Duras, sous la direction de Nicole Aubry, ou encoreAdultères (2006) de Woody Allen, mise en scène par Benoït Lavigne .Également metteur en scène, il signe, entre autres, A douze ans, je rêvais de Hong-Kong (1985) d’après Jean-Marie Le Clézio La Sage  de Jeff le chanceux(1988) de J.P.Morby, L’amour existe (2003) de Mitch Hooper, et Les Autres (2004) de Jean-Claude Grumberg.

Les yeux rieurs de Bernard Yerlès font les beaux jours du petit écran français et le révèlent à un large public en France avec pas moins de 40 téléfilms et séries parmi lesquels Le Fils de Paul (1995), Petite menteuse (1998) et Adriana et moi (2007), avec Adriana Karembeu. À partir de 2005, il campe le premier rôle dans la série policière de TF1, Rose et Val, aux côtés de Jean-Michel Tinivelli. Mais, cette série sera arrêtée deux ans plus tard. Parallèlement, depuis 2005, il interprète le rôle d’un père à la tête d’une famille de huit enfants dans la sitcom de M6, Merci les enfants vont bien, avec Pascale Arbillot. Il revient en 2009 avec une nouvelle série télévisée toujours diffusée actuellement sur TF1, Mes amis, mes amours, mes emmerdes, où l’on peut suivre les tribulations de trois couples amis depuis plus de vingt ans.

L’acteur belge développe par ailleurs une carrière sur grand écran. Il joue principalement dans des comédies telles que Elles ne pensent qu’à ça (1994) de Charlotte Dubreuil , La Vache et le Président (2000) de Philippe Muyl, ou encore, Au secours, j’ai trente ans (2004) de Marie-Anne Chaze, avec Pierre Palmade et Franck Dubosc. En 2007, il donne la réplique à Gérard Depardieu et Nathalie Baye dans la comédie dramatique Michou d’Auber de  Thomas Gilou ...

Il vient de réaliser tout récemment son premier court-métrage " Le Chevalier Blanc ".

33 € Plein Tarif – 23 € Tarif carte off -


12h12 : Plaisirs d'Amour - Patrick Poivre d'Arvor lecture spectacle (1h15)

Lecture de poèmes de Ronsard à Gérard de Nerval

Le samedi 16 juillet 2016


Création festival d'Avignon 2016

Patrick Poivre d’Arvor est avant tout journaliste et écrivain. Après avoir gagné le concours « Envoyé Spécial » pour France Inter en 1971, il entre à France Inter et  y travaille trois ans. Puis dix ans à Antenne 2, deux ans à Canal + et vingt et un ans à TF1. Il a présenté près de 10 000 journaux télévisés avant de se lancer dans la production de plusieurs émissions pour le service public dans le cadre de la société Aprime group, à l’image de la série « Une maison, un écrivain », qui va entamer sa quatrième saison. Il a par ailleurs collaboré à de nombreux médias de presse écrite.

Après cette riche carrière journalistique, il s’est activement lancé dans la création. Il a mis en scène un opéra avec Manon Savary : « Carmen » (2010) dans une dizaine de lieux prestigieux en France. Il a continué cette  expérience en Belgique, toujours avec Manon Savary, pour « Don Giovanni », (2013) et en France à l’été 2014 dans le cadre des Opéras en plein air. Cette même année 2014,  il mettra en scène à l’Opéra de Metz, Un amour en guerre, une œuvre dont il a écrit le livret sur une musique de Caroline Glory.

En 2011, il a réalisé un film pour France 3 « Mon frère Yves » avec Thierry Frémont dans le rôle principal, d’après le livre de Pierre Loti, adapté par Didier Decoin (Coup de cœur du Festival de Luchon 2012). Deux de ses propres livres ont eux aussi été adaptés à la télévision : Les enfants de l’aube avec Thierry Lhermitte, Mélanie Thierry et Cyril Descours (Cyrano d’Or de la meilleure adaptation 2005) et Petit homme, avec Stéphane Freiss (2007). Il vient par ailleurs de terminer une adaptation et une nouvelle traduction de la pièce de Stefan Zweig, Légende d’une vie.

En parallèle, avec son ami le pianiste Jean-Philippe Collard, depuis mars 2010 (dans le cadre de l’année Chopin), il se produit pour un récital alternant lectures de son Anthologie poétique et interprétations musicales. En janvier 2013 il a créé avec le pianiste Hugues Leclere le spectacle « L’Engrenage » sur des textes d’Apollinaire, de Jean Jaurès et de Raymond Poincaré pour illustrer les événements fatals qui ont conduit au déclenchement de la première guerre mondiale. Il récite également des textes de Blaise Cendras et d’auteurs russes sur le thème du  Transsibérien  avec le Quatuor Salieri.
Enfin, avec son frère Olivier, il a imaginé une lecture à deux voix de la correspondance de Vincent et Théo Van Gogh. Il est actuellement en tournée en France et à l’étranger pour ces 4 spectacles.

Patrick Poivre d’Arvor a écrit une soixantaine de livres depuis son premier roman, rédigé à l’âge de 17 ans, « Les Enfants de l’aube ». Il a obtenu de nombreuses récompenses littéraires, notamment pour « L’Irrésolu » (Prix Interallié 2000), « Un enfant » (Prix des lecteurs du Livre de Poche, 2001) ainsi que « La mort de Don Juan » (Prix Maurice Genevoix, 2004). Son dernier livre,  « Seules les traces font rêver », évoque souvenirs et portraits.

Il est Chevalier de l’Ordre de la Légion d’Honneur, Officier de l’Ordre du Mérite et Commandeur des Arts et des Lettres.

Il nous emmène rêver aujourd'hui de sa voix si particulière dans le registre de beaux textes évoquant un sentiment toujours autant d'actualité : l'Amour, avec Ronsard et Gérard de Nerval.


33 € Plein Tarif –23 € Tarif carte off -

11H00 : M'sieur Rimbaud - Nina Guazzini (1h00)

Presse

Du 7 au 30 juillet 2016.

« Et si les anges se jouaient de nous ? »


P'tit Molière du meilleur spectacle de la saison 2014-2015

P'tit Molière du meilleur second rôle masculin.

Il y a cent quarante quatre ans, Nina reçoit un poème (Les réparties de Nina) écrit par Arthur Rimbaud qui lui est dédié. Il l’invite à la suivre dans une course folle. Elle refuse. Mais cette rencontre et la suite des évènements conserveront un parfum de mystère. De cette entrevue, l’Histoire ne retiendra rien ou si peu. Juste un prénom, couronnant un des poèmes de jeunesse de l’homme aux semelles de vent.
C’est dans une autre vie, après un accident terrible que tout va commencer, ou recommencer, pour Nina. Sa réincarnation orchestrée par La Divine et La Fameuse a été bâclée. Les deux messagers de l’au-delà intercepteront l’âme de Nina qui n’en a pas fini avec ses vies. Dans cet « entre deux », hors du temps, ce lieu dont personne ne connait le chemin, elle devra se plier aux caprices d’anges machiavéliques qui y règnent en maîtres. Effleurant les pièces manquantes de l’histoire, il lui faudra retrouver peu à peu cette ombre mouvante, ce fantôme aux yeux pâles : Arthur. Une amnésie qui valse entre présent, passé et futur se conjuguant à l’unisson dans un univers singulier.

« M’sieur Rimbaud » est la première pièce créée par Nina Guazzini. Jouée à La Folie Théâtre à Paris pendant trois mois, la pièce contemporaine est un mélange de poésie et d’humour noir. Eligible aux p’tits Molières, La pièce se focalise sur le personnage de jeune fille de Nina, qui a inspirée à Rimbaud « Les réparties de Nina ».  L’histoire est celle de Nina, jouée par une charmante jeune femme (Marion Brossard) aux allures de lutin, qui est otage de deux anges dans « L’entre-deux ». Elle vient en effet de mourir suite à un accident, et se retrouve face au jugement de sa vie passée sur terre. Nina a connu Arthur Rimbaud dans une autre vie, qui, par erreur, n’a pas été effacé de sa mémoire par les deux anges. Elle n’a eu de cesse de le rechercher dans sa deuxième vie… Vous suivez ? Très vite emportée par l’univers poétique et contemporain, empli d’humour noir, de « M’sieur Rimbaud », nous avons écrit une critique pour La Critiquerie.

http://www.lacritiquerie.com/msieur-rimbaud-avis-a-la-folie-theatre-a-paris/


Interprétation :  Nina Guazzini, Nathan Métral, Timothée Boëda-Binant et Daniel Hederich (P'tit Molière du meilleur second rôle masculin)
Mise en scène : Nina Guazzini - Chorégraphies : Xavier Go
Costumes : Philippe Varache
Création Lumières : Sébastien Lanoue
Scénographie : Philippe Varache
Musique : Paul Cervera

Production : Compagnie La Magique Etude - Le Verbe Fou

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22 € Plein Tarif – 15 € Tarif carte off - Cies 10 €

12h12 : Magadan - Portrait d'une ville de Sibérie Extrême-Orientale - (0h50)

Texte de Margarita Carteron

Création Avignon 2016,
Les jeudi 7, vendredi 8 et samedi 9 juillet 2016
-
UNIQUES REPRESENTATIONS

Amas de corps
Corps fantômes
Se souvenir de tout
Beaucoup sont partis
Face au silence
Reste la Parole

Cette ville oubliée de Russie a vu mourir les condamnés du goulag soviétique. Face à ce lourd héritage, lettre de la Kolyma est un hommage à la nécessité de la mémoire et du dire ensemble. Magarita Carteron met en lumière la réalité d’un habitant de Magadan aujourd’hui. 
Je me suis rendu compte à la lecture de ce texte des points communs  que l’on peut avoir avec des personnes qui vivent à l’autre bout de la planète. On est une génération portant les horreurs du passé, sans les avoir vécues.
Il y a alors quelque chose de l’ordre du refus, qui amène à une volonté d’oublier. Pourtant, on a besoin de la mémoire pour apprendre, et construire l’avenir. C’est un devoir, individuel et collectif. Se souvenir ensemble, faire le deuil et reconstruire. Le plateau de théâtre comme espace du rituel collectif.
En chœur tragique, dans une parole commune, nous travaillons sur la musique des mots et la manière dont ils résonnent. Le son comme une vibration que l’on partage avec le public. Au travail sonore, nous danserons. Avec les corps, c’est retrouver le rituel du deuil dans quelque chose qui se rapproche de la transe collective, dans le lâché prise.
C’est un acte de libération, un dialogue entre soi-même et l’immensité du temps.

Teaser : https://vimeo.com/153034052
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« L’écriture est nécessaire à une forme de survie »
Transmettre ensemble
Transmettre toujours
Transmettre

Maxim Prévot et Pauline Rémond

 

Auteur : Margarita Carteron
Interprétation : Damien Burle, Julien Dervaux, Ophélie Lehmann, Pauline Rémond et Christophe Rouger
Mise en scène : Maxim Prévot
Photographie : Nicolas Blandin et Camille Pons
Designer graphique : Maxim Prévot
Contact : 06 84 41 94 11   Mail : cielesrivages@gmail.com
Site : www.

22 € Plein Tarif – 15 € Tarif carte off - Cies : 10

 

12h12 : Un contrat - Toni Benacquisto - (1h15)

Création Avignon 2016,
Les lundi 11 et mardi 12 juillet 2016
- UNIQUES REPRESENTATIONS

UN CONTRAT est une pièce de théâtre à laquelle l’auteur, Tonino Benacquista, a fort justement ajouté en sous-titre « western psychanalytique ».

Dans le cabinet d'un psychiatre de renom, qui accueille un patient singulier, l’histoire proposée va interroger deux points de vue : celui d’un homme aux affaires douteuses, touché par de violentes crises d'angoisses et des doutes existentiels, et celui d’un analyste qui prend conscience qu'il est pris en otage par un mafieux expérimenté et fin stratège, au fur et à mesure de ses confidences.

Le dialogue, en tension permanente entre les deux personnages, évoque un ping-pong mental, où le rapport dominant dominé permute fréquemment pour rythmer la narration et la dramaturgie.
L'analyste, plutôt monacal, figé dans son sourire de Mona Lisa, et le malfrat pervers narcissique, sociopathe et narquois, s’affrontent ainsi dans une ambiance où la musique d’Ennio Morricone trouverait naturellement sa place.

Lequel des deux finira allongé ? L'un d'une balle dans le ventre ? Ou l'autre sur le divan en livrant ses plus bas instincts ?...

Auteur : Tonino Benacquista
Interprétation : Olivier Douau et Patrick Séminor
Mise en scène : Marika Vibik
Co-production : Compagnie du Nouveau Monde - STF - Verbe Fou
Contact : 06 11 73 05 50   Mail : cie-nouveau-monde.84@orange.fr

22 € Plein Tarif – 15 € Tarif carte off - Cies : 10


12h12 : Le Cirque des Femmes (01h10)

Presse

Du 14 au 30 juillet 2016 -
(relâche le samedi 16).

Création 2016 - Cabaret sur la gent féminine -

Création belge

Le cirque des femmes est un cabaret créé sur base d’improvisations dans lequel la gent féminine se montre sous tous ses aspects : le paraître et l’intime, le général et le particulier.
Mélangeant tant le drame que l’humour, à travers des textes inédits, des chansons et des scènes non verbales, nous présentons des dizaines de portraits de femmes à la fois séduisantes, mordantes, hypocrites, honteuses, violentes, militantes, travailleuses, chômeuses, danseuses, célibataires désespérées, amantes délaissées,… 

Le cirque des femmes a pour origine le désir de présenter la femme dans la redéfinition de son identité au sein de la société contemporaine. Entre force et fragilité, entre inquiétude  et audace, entre légèreté et profondeur, elle se libère peu à peu des clichés qui la caractérisent et assume ses contradictions pour se réinventer.
A l’image des poupées russes, les femmes sont plurielles et complexes.

Ces portraits que nous présentons sont une manière de leur rendre hommage dans une période où leur liberté reste toute relative.

 

Nous vous emmenons dans l’intimité de 3 générations de femmes, un voyage drôle, tendre et incisif. 
La mise à nu de ces femmes est d’autant plus touchante qu’elle se fait en direct face au public, telles des acrobates sans filet. 
Une série de petites séquences met en lumière les questions essentielles qu'elles se posent sur la peur de vieillir, la crainte de l’abandon, les hontes portées toute une vie, la violence sous toutes ses formes mais aussi les surprises de la maternité, la richesse des amitiés féminines et leurs relations parfois étranges avec elles-mêmes, avec leur image et avec les autres.

Auteur : Collectif les Filles du Nord
Interprétation : Charlotte Devyver, Sophie Doyen, Micheline Mordenfeld 
et Ann Vandenplas

Mise en scène : Alexis van Stratum
Production : ASBL Chéri Chéri - Le Verbe Fou
Contact : Micheline Mordenfeld
Email : momimi8@gmail.com

TEASER : https://www.youtube.com/watch?v=xyqXtHXHMZ4&feature=youtu.be

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23 € Plein Tarif – 16 € Tarif carte off - Cies : 10

 

13h45 : Arthur Rimbaud en morceaux - Rimbaud (0H50)

Presse

Du 7 au 30 juillet 2016 - relâches les mercredi 13, 20 et 27 juillet.


Un opus poétique non identifié entre théâtre et slam qui revisite Arthur RIMBAUD

Avec " Arthur Rimbaud en morceaux"  Jean François Homo dépoussière le poète qui aurait 162 ans aujourd'hui.

Seul en scène, avec dans les hauts parleurs, les compositions électro-pops du groupe Omoh, il donne un véritable coup de jeune à l'œuvre et à l'homme.
C'est une sorte de slam, parlé-chanté, le micro dans une main et le "poison maudit" dans l'autre.
C'est aussi du théâtre. La voix d'un jeune Arthur (Romain Isoard en voix off) accompagne par moments le jeu de l'acteur dont le "show" (Le Bateau Ivre intégral) se transforme peu à peu en une spirale infernale (Une Saison en Enfer).

Jean François Homo revit Rimbaud, l'enfant terrible, le poète écorché, l'homme à vif...

 

D’abord, j’ai choisi des lettres, des textes, des poèmes et je les ai découpés en morceaux. Toutefois, j’ai gardé quelques poèmes dans leur intégralité et j’ai respecté une chronologie tant biographique que dramatique, de « sensation » (mars 1870) à « une saison en enfer » (avril-août 1873).
Puis, j’ai travaillé avec des musiciens-compositeurs de style électro-pop pour que certains textes soient interprétés comme des morceaux « paroles et musiques » entre lesquels viennent s’immiscer des extraits de lettres en voix off et toutes sortes d’illustrations sonores.
Les mots sont parlés, rythmés, parfois chantés. Le tout est sonorisé dans différentes modulations avec la complicité de quelques appareils électroniques et le soutien prépondérant de la musique enregistrée et diffusée dans les hauts parleurs.
Ensuite, j’ai disposé sur le plateau des accessoires avec lesquels j’avais envie de jouer :
Un gouvernail, un pied de micro, une malle remplie de cordages, un livre abimé, une vieille bouteille...
Enfin, j’ai rassemblé tous ces éléments sous l’œil complice d’une chorégraphe pour composer cette sorte « d’OPNI » (opus poétique non identifié), entre théâtre et récital, slam et monologue.
Je ne suis pas Arthur RIMBAUD, je suis tour à tour, le lecteur, le témoin et l’interprète.
Celui qui navigue entre l’œuvre et la vie du poète. Parfois je plonge et je m’identifie, puis je refais surface…
Plusieurs « pistes » s’offrent à moi. Certains passages sont périlleux. Attention ça tangue !
La traversée dure environ 50 minutes... Selon les vents !
Ainsi revisitée, l’œuvre d’Arthur RIMBAUD nous interpelle encore cent soixante deux ans plus tard. Qu’on le connaisse ou pas, RIMBAUD nous saute à la figure. Précurseur de la poésie moderne, il n’en finit pas de nous éblouir.

Extrait sonore : Le Bateau Ivre - Arthur Rimbaud en Morceaux
- 2ème volet : Le voyou. Diffusion sur France Culture le 28 juillet 2015

Relire Rimbaud.
Plonger à nouveau dans ce flot tourmenté et remonter sur le bateau, du moins le reprendre là où je me suis embarqué il y a presque 50 ans.
Grâce à ce « Bateau ivre », j’ai osé commencer à écrire des poèmes, à les dire, les chanter.
Aujourd’hui, je suis de retour sur le pont avec une irrésistible envie de vous dire qu’un poète né en 1854 est toujours vivant. Il aurait 162 ans, il serait encore un tout jeune homme.
Arthur serait un « ado difficile » ... A 17 ans, après 2 ou 3 fugues, il se serait enfui pour toujours, emportant avec lui un trésor de poèmes.
Alcool, sexe, drogues, bagarres et incivilités de toutes sortes accompagneraient sa recherche d’un « dérèglement de tous les sens », jusqu’à tutoyer la folie et passer « une saison en enfer ».
Oui, Rimbaud est vivant !
Toujours avide d’expériences de toutes natures, il prend des risques. Les doigts agiles sur sa tablette, il saisit des paroles visionnaires qu’il va slamer le soir dans des lieux improbables, « n’importe où, pourvu que ce soit hors du monde ! ».
Et pour mieux se faire comprendre il se sert des musiques, des machines, et des bruits de son temps.
Relire Rimbaud et voir l’évidence : le 21 siècle est « rimbaldien ». Jean-François HOMO

Auteur : Arthur Rimbaud
Adaptation et interprétation : Jean-François Homo
Mise en scène : Jean François Homo/Christiane Marciano
Collaboration artistique : Christiane M. Marciano
Création musicale : OMOH (Baptiste Homo, Clément Agapitos et Gaël Galzin à la batterie)
Voix Off : Romain Isoard
Création lumières : Carlos Moréno
Régie : Albin Fontalba
Décor : Jean-Claude Salliens, Cie Beau Parleur, Association Siloe (le Grau du Roi)
Conception affiches et dossiers : Artothèque Sud
Production : La Compagnie Beau Parleur avec le soutien de la ville de Nîmes, Le Verbe Fou
Site internet : http://www.Facebook Compagnie Beau Parleur
Contact : compagniebeauparleur@gmail.com - Tél. : 06 84 21 01 83

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18 € Plein Tarif – 12 € Tarif carte off - Cies et Enfants : 10

13h45 : Vie de Piotr Illitch Tchaïkovski -
Conférence - Causerie de Jean-Claude Humbert
(1h10)

Création festival d'Avignon 2016
Le mercredi 20 juillet 2015



Jean-Claude Humbert (suisse-français) se consacre à l'écriture depuis 1990. Il a été primé plusieurs fois par la Société genevoise des écrivains. Première pièce : BARTOLOME TECIA, drame sur l'intolérance au temps de la Réforme à Genève. Un livret de l'Opéra LE PROCES DE MICHEL SERVET, joué à Genève en 2011.

 

Quelques mots, sur la pièce Madame Tchaïkovski :

"J'avais perçu. dit J.C. Humbert " le désarroi, la peur et la souffrance que des notes et une orchestration tentaient en vain de camoufler. Antonina Ivanovna avait tout pour être le bouc émissaire idéal. Elève amoureuse du maître Piotr Illitch, elle l'épouse finalement pensant rentrer dans les normes de la société bourgeoise de l'époque. Son homosexualité dérangeait. Antonina avait eu la mauvaise idée de tomber amoureuse d'un génie sans espoir de retour.
Antonina survivra cependant à ceux qui l'ont oubliée !

J'aimerais que la pièce Madame Tchaïkovski lui donne le droit de réponse que ses contemporains lui ont refusé...

 

Par : Jean-Claude Humbert

Entrée libre : recette au Chapeau

15h00: Flaubert,Lettres à Louise Colet - Flaubert (1h10)

Presse

Du 7 au 29 juillet 2016
Relâche le samedi 30 juillet.

Pièce de théâtre adaptée de la correspondance de Gustave Flaubert et Louise Colet,
avec des extraits de Madame Bovary.

Lettres de Gustave Flaubert à Louise Colet, poétesse et amante qui lui a inspiré Madame Bovary.
Paris, été 1846. Gustave Flaubert a 24 ans. Il n’a encore rien publié et n’est pas reconnu dans le monde des lettres. Il devient l’amant de Louise Colet, muse des salons parisiens. Depuis la maison familiale de Croisset en Normandie, il lui écrit chaque jour.

Seule en scène, dans son boudoir de la rue de Sèvres, Louise découvre les lettres enflammées de Gustave et devient la confidente du jeune auteur.
Commence alors une relation houleuse, qui durera huit ans, pendant lesquels les deux amants s’aiment et se déchirent car Louise a une rivale, Madame Bovary !

Venez découvrir une des plus belles correspondances de la littérature française ! Vous serez plongé dans les coulisses de l’élaboration de Madame Bovary,
le chef -d’œuvre écrit après la révolution de 1848 dans une France pas si différente de celle d’aujourd’hui.

 

 

« L’histoire de la réception par une voix de femme des mots de Gustave - pourquoi pas ?
En ces temps où l’on veut revoiler nos femmes, leur boucher les oreilles, et discuter de comment les diriger,
je dois dire que mon féminisme jusque-là atrophié s’est réveillé. 
Louise veut Tout. Gustave aussi, mais lui en littérature, elle en amour. Cela fait ici un beau livre,
là de belles lettres, et partout des malentendus fort bien écrits. »
Le Nouvel Economiste

"Avec cette voix fraîche que beaucoup d’Agnès pourraient lui envier,
Marie-Stéphanie Sutter arbore avec élégance la célèbre robe bleue qui lui permet d’évoquer tout à la fois, Louise Colet mais également Emma Bovary.
C’était sans doute une justice à rendre à l’une et à l’autre.
Portée par cette triple fonction d’adaptatrice, de metteur en scène et d’interprète,
la comédienne mérite bien nos applaudissements.  »
www.theatreauteurs.com

« Marie-Stéphanie Sutter, d’une palette large, campe une Louise Colet drôle, passionnée, amoureuse, tourmentée, pertinente, sensible, fragile ; elle nous emporte littéralement dans les affres de cette passion amoureuse avec justesse et générosité. Cette pièce nous présente avec passion et sensibilité une des plus belles pages de la littérature française. » www.loisiramag.fr

Auteur : Gustave Flaubert
Adaptation, mise en scène et jeu : Marie-Stéphanie Sutter
Costumes : Axel Boursier
Communication : Julien Delarasse
Production : La Compagnie du Pont-Levant - Le Verbe Fou
Site internet : http://www.compagniedupont-levant.fr - www.facebook.com/flaubertlettresalouisecolet
Contact :
lacompagniedupontlevant@gmail.com  Tel : 06. 31. 31. 69. 50

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19 € Plein Tarif –13 € Tarif carte off - Cies : 10

16h30 : Sarah - John Murrell (durée : 1h20)

Presse

Du 7 au 30 juillet 2016 -

Reprise suite à son succès au Festival d’Avignon 2015

Eté 1922, Belle-Ile en Mer, Sarah Bernhardt passe quelques jours en compagnie de sa famille, de son médecin et de son très dévoué secrétaire particulier Georges Pitou. Elle veut écrire ses mémoires et grâce à Pitou, qui
accepte de jouer tous les rôles qu'elle lui impose, elle retrouve les personnages exceptionnels qui ont influencé sa vie et sa carrière: sa mère, son imprésario, ses amours, ses amis dont le plus cher était Oscar Wilde.
Femme avant-gardiste pleine d'humour et d'énergie elle nous entraîne dans son passionnant et virevoltant dix-neuvième siècle.


PRESSE AVIGNON 2015
« Un bon moment de théâtre qui fond comme un moment de sucre dans une tasse de thé au salon de Sarah Bernhardt. » Théâtre au vent Just another Blog.lemonde.fr weblog

« Sarah Bernhardt, alias Marthe Vandenberghe, déroule devant nous cinquante années d'une vie tumultueuse et exaltante. » apepresseetrangere.org/les-billets-de-lea

« L'incontestable talent des comédiens, la mise en scène sur mesure et les jolis costumes d'époque remplissent parfaitement la mission de cette adaptation d'Eric-Emmanuel Schmitt: celle de redonner vie à la célébrissime, divine, superbe et passionnante Sarah Bernhardt.» Reg'Arts www.regarts.org

John Murrell est un auteur canadien. A l'origine sa pièce s'appelle Mémoires, il l'a écrite en 1974.
En France elle a été jouée et mise en scène par George Wilson sous le titre  Sarah ou le cri de la langouste, avec Delphine Seyrig dans le rôle de Sarah.


Interprétation : Marthe Vandenberghe et en alternance Jean-Christophe Armand et Patrick Séminor
Mise en scène : Marthe Vandenberghe
Décors, costumes et affiche : Grain d'Sel Arles
Bande son : Philippe Monpert
Production : Compagnie Ambroisies - Le Verbe Fou
Contact : compagniedesambroisies@yahoo.fr
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19 € Plein Tarif –13 € Tarif carte off - Tarif Cies : 10 €

18h15 : Maupassant éperdument ... - Guy de Maupassant (1h10)

Presse

 
La Parure et autres nouvelles
 (texte intégral)
                                                   
CREATION FESTIVAL 2016

Du 7 au 30 juillet 2016

... ou 4 nouvelles de Guy de Maupassant autour du sort de la femme dans la société du dix-neuvième siècle.…

   Le texte intégral de Maupassant  au style sobre, coloré, touchant, est mis en valeur par la mise en scène : les changements d’accessoires, de costumes, de décors, l’accompagnement musical constant et varié, nous entraînent au cœur du spectacle.
   Dans La Parure, la plus connue des quatre nouvelles, le spectateur tremble avec Mathilde, dont la vie banale et rêvée bascule dans le pathétique et le drame.
   Le Signe, bavardage drôle et anecdotique de deux femmes du monde, est comme une bouffée d’air frais pour le public, avant que, devenu juré et impliqué dans le procès de la petite bonne Rosalie Prudent, il ne se laisse gagner par l’émotion, tant l’écriture de Maupassant peut être d’un réalisme poignant.


Vient enfin une incursion dans le monde paysan, avec Les Sabots :
rude et drôle à la fois, l’histoire d’Adélaïde clôt en gaieté ce spectacle sensible et contrasté, totalement fidèle à l’auteur.

La Parure

Le signe

Rosalie Prudent

Les sabots


Auteur : Guy de Maupassant
Interprétation et mise en scène : Anne Marlange

Conseillère artistique : Maryline Puesch
Costumes : Marylou Tedesco
Visuel recto : Auguste Renoir

Lumières et ambiance sonore : Patrice Marlange


Co-Production : L'Aventurine - Le Verbe Fou
Site : www.laventurine@free.fr
Contact : laventurine@free.fr


18 € Plein Tarif – 12 € Tarif carte off - Cies et Enfants : 10


19h45 : Madame Tchaïkovski ou l'Amour pathétique - J.C.Humbert (1h00)

Drame en un acte1 de Jean-Claude HUMBERT

Du 7 au 30 juillet 2015

Relâches les lundi 11, 18 et 25 juillet.

Création festival d'Avignon 2016

Piotr Ilitch est décédé il y a 120 ans.
Sa musique est plus que jamais vivante. On célèbre l’artiste. Mais l’homme ?
On aimerait pouvoir dire que les vieux démons qui lui ont causé d’indicibles souffrances appartiennent définitivement au passé. Hélas, les exactions homophobes de la Russie de Poutine et les débordements haineux des récentes manifestations parisiennes nous en apportent un inquiétant démenti.

Jean-Claude Humbert, tout en rendant hommage au musicien, souhaite rétablir la vérité sur sa femme brisée par le malheur de l’aimer d’un amour impossible : « J’aimerais que la pièce Madame Tchaïkovski donne le droit de réponse à Antonina Ivanovna que ses contemporains lui ont refusé. »

Madame Tchaïkovski est un drame mettant en scène un personnage historique

"N'est-ce pas affreux de penser que ceux qui m’aiment ont parfois honte de moi ? Je sais que mes penchants sont le plus grand et le plus insurmontable obstacle au bonheur, et je dois de toutes mes forces combattre ma nature. Je ferai l'impossible pour me marier cette année même. » En son temps, le « penchant » de Piotr Ilitch était inavouable. Et pourquoi pas se marier pour sauver les apparences ? On sait que de nombreux homosexuels ont recouru – et recourent encore - à ce choix. L’idée de conjuguer amour et mariage est très récente et il est des mariages arrangés qui fonctionnent.
Sauf, qu’en l’occurrence, Antonina Ivanovna a aimé passionnément Piotr Ilitch et s’est brisée sur l’impossibilité du partage, son désir perpétuellement inassouvi. Au malheur de son impossible amour, s’ajoutera l’opprobre dont on l’a chargée pour camoufler l’indicible.
Jean-Claude Humbert a voulu en savoir plus, comprendre. Il s’est d’abord transformé en limier qui ne s’en laisse-ra pas conter pour tenter de rétablir une vérité, même relative. On sent l’auteur de la pièce vibrer avec toute sa sensibilité au malheur d’Antonina Ivanovna, soucieux de lui rendre justice. L’auteur n’entend pas juger, mais montrer une mécanique impitoyable


 

Auteur : Jean-Claude Humbert
Interprétation : Elzbieta Jasinska, Solange Htmacher, Laurent Sandoz
Mise en scène :  Maulde Coutau
Création : La Compagnie Les Fruits Sauvages et l’auteur
Chorégraphie : Nadine Issacovitch
Pianiste : Sylviane Baillif-Beux
Voix off : Marco Polli - Vidéo : Vincent Babel et Léa Payro
Chargée de Diffusion :
Frédérique Longrée
Contact : 06 - E.mail : frederique.longree@gmail.com
Site :
www.

23 € Plein Tarif – 16 € Tarif carte off - Cies : 12

21h05 : Bérénice - Jean Racine (1h10)

Presse


Création Festival 2016

Du 7 au 30 juillet 2016



« Ce n’est point une nécessité qu’il y ait du sang et des morts dans une tragédie; il suffit que l’action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s’y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Racine, préface à Bérénice.

Le futur empereur Titus aime Bérénice, reine de Palestine, et Bérénice l’aime en retour. Pourtant, ils doivent se séparer. Ils le savent depuis le début de leur histoire.
La société romaine interdit l’union des empereurs avec les reines étrangères. Et le père de Titus l’empereur Vespasien meurt : Titus doit accéder au trône et renoncer à Bérénice.

C’est avec violence que Racine met en évidence que le mariage est d’abord une affaire politique, une affaire de patrimoine, une affaire de pouvoir… Pourtant, il réussit à peindre avec cette tragédie une des plus belles expressions de l’amour. C’est souvent dans l’absence de l’autre que l’on se rend réellement compte de l’amour que l’on éprouve.
Et quand cette séparation est définitive et indépendante de notre volonté, alors « cette tristesse majestueuse » nous inonde et l’on sait à ce moment précis que nous avons aimé. Et que cet amour durera toujours.
C’est dans la noblesse de l’alexandrin que nous avons voulu peindre avec sincérité et fougue la beauté du sentiment amoureux. C’est une histoire qui nous touche tous. Les mots de Racine résonnent encore aujourd’hui avec une incroyable justesse.

Auteur : Jean Racine
Interprétation : Damien Burle, Julien Dervaux, Ophélie Lehmann et Pauline Rémond
Photographie : Camille Pons
Mise en scène : Maxim Prévot - Assistant mise en scène : Christophe Rouger
Chargée de Production : Pauline Rémond
Illustration : Clarisse Magaud, tableau, peintures miroirs.
Designer graphique : Maxim Prévot
Contact : 33 (0)6 84 41 94 11 - Email : cielesrivages@gmail.com
Co-Production : Compagnie Les Rivages - Le Verbe Fou
Site : http://
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22 € Plein Tarif –15 € Tarif carte off - Enfants et Cies : 10 €

 

19h45 : Camus, Entre Dieu et néant
Lecture causerie de Vincent Engel
(1h15)


Création belge Festival 2016

Lundi 18 juillet 2016


J’ai appris à penser avec Camus et il n’y aucune œuvre littéraire que je relis avec autant d’assiduité que la sienne. J’y reviens inlassablement, émerveillé à chaque fois d’y découvrir de nouvelles richesses.

L’écriture de « Jonas » a été une occasion merveilleuse pour moi; non seulement, j’ai replongé dans ses textes, mais surtout j’ai découvert ce qui a été une part importante de son travail de dramaturge : l’adaptation, la transposition d’une œuvre littéraire à la scène. C’est un travail difficile et passionnant, car il ne suffit pas de transposer les dialogues ; il faut rendre l’esprit, l’ambiance…


Lors de ces lectures, je partagerai avec vous un cheminement à travers l’œuvre de Camus, de ses premiers à ses derniers textes.

Vincent Engel est écrivain, dramaturge, scénariste et professeur à l’université de Louvain. Il a écrit plus de 20 romans et vient de sortir Le Miroir des illusions, aux éditions Les Escales.
Plus d’informations : www.vincent-engel.com


Entrée libre


 

22h30 : Jonas - Vincent Engel/Camus (1h15)


Création Festival 2016

Du 7 au 30 juillet 2016


Relâches les mardi 12, 19 et 26 juillet.


Création belge


« Jonas », c’est l’histoire d’un peintre qui a toujours cru à son étoile et qui est obscurément convaincu qu’il obtiendra beaucoup sans jamais rien mériter. Il a épousé Louise, qui lui a donné trois enfants, et peut compter sur son ami Rateau pour veiller sur ses intérêts. Mais comment protéger un homme qui se laisse envahir et est incapable de dire non ?
Le succès conduit les parasites à envahir son univers qui va, comme en un Écume des jours sans amour, se réduire petit à petit. Acculé, presque asphyxié, Jonas connaîtra la descente aux enfers des hommes, avant de revenir, par amour pour Louise.

Là, dans un espace minuscule, il guettera un signe de son étoile et l’inspiration pour une création ultime – mais indéchiffrable.

Comment ne pas voir dans le destin de Jonas le miroir de celui de Camus ? À l’époque où il écrit son unique recueil de nouvelles, L’Exil et le Royaume, il vit la même contradiction que son peintre : le malentendu du succès dans un Saint-Germain dont l’intelligentsia n’a jamais vraiment accepté ce pied-noir issu du peuple. Au-delà de la nouvelle, c’est toute l’œuvre d’Albert Camus que Vincent Engel convoque pour cette adaptation.



Auteur : Vincent Engel d'après une nouvelle de Albert Camus
Interprétation : Audrey Devos, Georges Siatidis, Sandrine Henry et Carlos Vaquera
Musiques : Charles Loos
Mise en scène : Vincent Engel assisté de Céline Verlant
Scénographie : Paolo Pellizzari
Contact : 33 (0)682211167 - Email : unegrosseboitefrancaise@yahoo.com
Production : Compagnie Une Grosse Boîte française, d'Argenteuil Prod et Veniz Production

 

23,00 € Plein Tarif –16 € Tarif carte off

 

 

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