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 Création Avignon 2016, | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Création 2016 - Cabaret sur la gent féminine -
Création belge
 Le cirque des femmes est un cabaret créé sur base d’improvisations dans lequel la gent féminine se montre sous tous ses aspects : le paraître et l’intime, le général et le particulier.
Le cirque des femmes est un cabaret créé sur base d’improvisations dans lequel la gent féminine se montre sous tous ses aspects : le paraître et l’intime, le général et le particulier. 
                            Mélangeant tant le drame que l’humour, à travers des textes inédits, des chansons et des scènes non verbales, nous présentons des dizaines de portraits de femmes à la fois séduisantes, mordantes, hypocrites, honteuses, violentes, militantes, travailleuses, chômeuses, danseuses, célibataires désespérées, amantes délaissées,… 
                            
                            Le cirque des femmes a pour origine le désir de présenter la femme dans la redéfinition de son identité au sein de la société contemporaine. Entre force et fragilité, entre inquiétude  et audace, entre légèreté et profondeur, elle se libère peu à peu des clichés qui la caractérisent et assume ses contradictions pour se réinventer. 
                          A l’image des poupées russes, les femmes sont plurielles et complexes. 
                          
Ces portraits que nous présentons sont une manière de leur rendre hommage dans une période où leur liberté reste toute relative.
 
 
                            
                            Nous vous emmenons dans l’intimité de 3 générations de femmes, un voyage drôle, tendre et incisif. 
                            La mise à nu de ces femmes est d’autant plus touchante qu’elle se fait en direct face au public, telles des acrobates sans filet. 
                            Une série de petites séquences met en lumière les questions essentielles qu'elles se posent sur la peur de vieillir, la crainte de l’abandon, les hontes portées toute une vie, la violence sous toutes ses formes mais aussi les surprises de la maternité, la richesse des amitiés féminines et leurs relations parfois étranges avec elles-mêmes, avec leur image et avec les autres.
Auteur : Collectif les Filles du Nord
                            
                            Interprétation : Charlotte Devyver, Sophie Doyen, Micheline Mordenfeld 
                            et Ann Vandenplas
                            Mise en scène : Alexis van Stratum
                            
                            Production : ASBL Chéri Chéri - Le Verbe Fou
                            
                            Contact : Micheline Mordenfeld
                            
                          Email : momimi8@gmail.com
TEASER : https://www.youtube.com/watch?v=xyqXtHXHMZ4&feature=youtu.be
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23 € Plein Tarif – 16 € Tarif carte off - Cies : 10 €
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Du 7 au 30 juillet 2016 - relâches les mercredi 13, 20 et 27 juillet.

                          Un opus poétique non identifié entre théâtre et slam qui revisite Arthur RIMBAUD
Avec " Arthur Rimbaud en morceaux" Jean François Homo dépoussière le poète qui aurait 162 ans aujourd'hui.
Seul en scène, avec dans les hauts parleurs, les compositions électro-pops du groupe Omoh, il donne un véritable coup de jeune à l'œuvre et à l'homme. 
                            C'est une sorte de slam, parlé-chanté, le micro dans une main et le "poison maudit" dans l'autre. 
                            C'est aussi du théâtre. La voix d'un jeune Arthur (Romain Isoard en voix off) accompagne par moments le jeu de l'acteur dont le "show" (Le Bateau Ivre intégral) se transforme peu à peu en une spirale infernale (Une Saison en Enfer). 
                            
                            Jean François Homo revit Rimbaud, l'enfant terrible, le poète écorché, l'homme à vif...
 
 
D’abord, j’ai choisi des lettres, des textes, des poèmes et je les ai  découpés en morceaux. Toutefois, j’ai gardé quelques poèmes dans leur  intégralité et j’ai respecté une chronologie tant biographique que dramatique, de  « sensation » (mars 1870) à « une saison en enfer » (avril-août 1873).
                              Puis, j’ai travaillé avec des musiciens-compositeurs de style électro-pop  pour que certains textes soient interprétés comme des morceaux « paroles et  musiques » entre lesquels viennent s’immiscer des extraits de lettres en voix  off et toutes sortes d’illustrations sonores. 
                              Les mots sont parlés, rythmés, parfois chantés. Le tout est sonorisé dans  différentes modulations avec la complicité de quelques appareils électroniques  et le soutien prépondérant de la musique enregistrée et diffusée dans les hauts  parleurs.
                              Ensuite, j’ai disposé sur le plateau des accessoires avec lesquels  j’avais envie de jouer :
                              Un gouvernail, un pied de micro, une malle remplie de cordages, un livre  abimé, une vieille bouteille...
                              Enfin, j’ai rassemblé tous ces éléments sous l’œil complice d’une chorégraphe  pour composer cette sorte « d’OPNI » (opus poétique non identifié), entre  théâtre et récital, slam et monologue.
                              Je ne suis pas Arthur RIMBAUD, je suis tour à tour, le lecteur, le témoin  et l’interprète.
                              Celui qui navigue entre l’œuvre et la vie du poète. Parfois je plonge et je  m’identifie, puis je refais surface… 
                              Plusieurs « pistes » s’offrent à moi. Certains passages sont périlleux. Attention  ça tangue !
                              La traversée dure environ 50 minutes... Selon les vents !
                              Ainsi revisitée, l’œuvre d’Arthur RIMBAUD nous interpelle encore cent  soixante deux ans plus tard. Qu’on le connaisse ou pas, RIMBAUD nous saute à la  figure. Précurseur de la poésie moderne, il n’en finit pas de nous éblouir.
                            
Auteur : Arthur Rimbaud
Adaptation et interprétation 
                          : Jean-François Homo
Mise en scène : Jean François Homo/Christiane Marciano
Collaboration artistique : Christiane M. Marciano
Création musicale : OMOH (Baptiste Homo, Clément Agapitos et  Gaël Galzin à la batterie)
Voix Off : Romain Isoard
Création lumières : Carlos Moréno
Régie : Albin Fontalba
Décor : Jean-Claude Salliens, Cie Beau Parleur, Association Siloe (le Grau du Roi)
Conception affiches et dossiers : Artothèque Sud
Production : La Compagnie Beau Parleur avec le soutien de la ville de Nîmes, Le Verbe Fou
Site internet : http://www.Facebook Compagnie Beau Parleur
Contact : compagniebeauparleur@gmail.com - Tél. : 06 84 21 01 83
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18 € Plein Tarif – 12 € Tarif carte off  - Cies et Enfants : 10 €
                      
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Création festival d'Avignon 2016
  Le mercredi 20 juillet 2015

    
    Jean-Claude Humbert (suisse-français) se consacre à l'écriture depuis 1990. Il a été primé plusieurs fois par la Société genevoise des écrivains. Première pièce : BARTOLOME TECIA, drame sur l'intolérance au temps de la Réforme à Genève. Un livret de l'Opéra LE PROCES DE MICHEL SERVET, joué à Genève en 2011.
  
  
 
Quelques mots, sur la pièce Madame Tchaïkovski :
"J'avais perçu. dit J.C. Humbert " le désarroi, la peur et la souffrance que des notes et une orchestration tentaient en vain de camoufler. Antonina Ivanovna avait tout pour être le bouc émissaire idéal. Elève amoureuse du maître Piotr Illitch, elle l'épouse finalement pensant rentrer dans les normes de la société bourgeoise de l'époque. Son homosexualité dérangeait. Antonina avait eu la mauvaise idée de tomber amoureuse d'un génie sans espoir de retour. 
  Antonina survivra cependant à ceux qui l'ont oubliée !
J'aimerais que la pièce Madame Tchaïkovski lui donne le droit de réponse que ses contemporains lui ont refusé...
Par : Jean-Claude Humbert
    
  
Entrée libre : recette au Chapeau
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Auteur : Gustave Flaubert
                          Adaptation, mise en scène et jeu 
                          : Marie-Stéphanie Sutter
                          Costumes :   Axel Boursier
                          Communication : Julien Delarasse
                          Production : La Compagnie du Pont-Levant - Le Verbe Fou
                          Site internet : http://www.compagniedupont-levant.fr - www.facebook.com/flaubertlettresalouisecolet
                          Contact : lacompagniedupontlevant@gmail.com   Tel : 06. 31. 31. 69. 50
                          
                          Télécharger le dossier de presse
                        
                        
                        
19 € Plein Tarif –13 € Tarif carte off - Cies : 10 €
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Du 7 au 30 juillet 2016 -
Reprise suite à son succès au Festival d’Avignon 2015 
                          
                           Eté 1922, Belle-Ile en Mer, Sarah Bernhardt passe quelques jours en compagnie de sa famille, de son médecin et de son très dévoué secrétaire particulier Georges Pitou. Elle veut écrire ses mémoires et grâce à Pitou, qui
Eté 1922, Belle-Ile en Mer, Sarah Bernhardt passe quelques jours en compagnie de sa famille, de son médecin et de son très dévoué secrétaire particulier Georges Pitou. Elle veut écrire ses mémoires et grâce à Pitou, qui
                          accepte de jouer tous les rôles qu'elle lui impose, elle retrouve les personnages exceptionnels qui ont influencé sa vie et sa carrière: sa mère, son imprésario, ses amours, ses amis dont le plus cher était Oscar Wilde.
                        Femme avant-gardiste pleine d'humour et d'énergie elle nous entraîne dans son passionnant et virevoltant dix-neuvième siècle.
                          Interprétation : Marthe Vandenberghe et en alternance Jean-Christophe Armand et Patrick Séminor
                          Mise en scène : Marthe Vandenberghe
                          Décors, costumes et affiche : Grain d'Sel Arles
                          Bande son : Philippe Monpert
                          Production : Compagnie Ambroisies - Le Verbe Fou
                        Contact : compagniedesambroisies@yahoo.fr
                       
                             Télécharger le dossier de presse                   
19 € Plein Tarif –13 € Tarif carte off  -  Tarif Cies : 10 €
                          
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CREATION FESTIVAL 2016
Du 7 au 30 juillet 2016 
 ... ou 4 nouvelles de Guy de Maupassant autour du sort de la femme dans la société du dix-neuvième  siècle.…
... ou 4 nouvelles de Guy de Maupassant autour du sort de la femme dans la société du dix-neuvième  siècle.… 
   Le texte intégral de Maupassant  au style sobre, coloré, touchant, est mis en  valeur par la mise en scène : les changements d’accessoires, de costumes,  de décors, l’accompagnement musical constant et varié, nous entraînent au cœur  du spectacle.
     Dans La Parure, la plus connue des quatre  nouvelles, le spectateur tremble avec Mathilde, dont la vie banale et rêvée  bascule dans le pathétique et le drame.
     Le Signe, bavardage drôle et anecdotique de  deux femmes du monde, est comme une bouffée d’air frais pour le public, avant  que, devenu juré et impliqué dans le procès de la petite bonne Rosalie Prudent,  il ne se laisse gagner par l’émotion, tant l’écriture de Maupassant peut être  d’un réalisme poignant.
    Vient enfin une incursion dans le monde  paysan, avec Les Sabots :
    rude et drôle  à la fois, l’histoire d’Adélaïde clôt en gaieté ce spectacle sensible et  contrasté, totalement fidèle à l’auteur.

La Parure
Le signe
Rosalie Prudent
Les sabots
  
    Auteur : Guy de Maupassant
      
      Interprétation et mise en scène : Anne Marlange
    
    Conseillère artistique : Maryline Puesch
    
    Costumes : Marylou Tedesco
    Visuel recto : Auguste Renoir
    Lumières et ambiance sonore : Patrice Marlange 
  
  
Co-Production : L'Aventurine - Le Verbe Fou
  
  Site  : www.laventurine@free.fr
  
  Contact : laventurine@free.fr
18 € Plein Tarif – 12 € Tarif carte off - Cies et Enfants : 10 €
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Drame en un acte1 de Jean-Claude HUMBERT
  
  Du 7 au 
  30 juillet 2015
Relâches les lundi 11, 18 et 25 juillet.
  
  
  
  Création festival d'Avignon 2016 

Piotr Ilitch est décédé il y a 120 ans. 
  Sa musique est plus que jamais vivante. On célèbre l’artiste. Mais l’homme ? 
  On aimerait pouvoir dire que les vieux démons qui lui ont causé d’indicibles souffrances appartiennent définitivement au passé. Hélas, les exactions homophobes de la Russie de Poutine et les débordements haineux des récentes manifestations parisiennes nous en apportent un inquiétant démenti. 
  
  Jean-Claude Humbert, tout en rendant hommage au musicien, souhaite rétablir la vérité sur sa femme brisée par le malheur de l’aimer d’un amour impossible : « J’aimerais que la pièce Madame Tchaïkovski donne le droit de réponse à Antonina Ivanovna que ses contemporains lui ont refusé. »
  
  Madame Tchaïkovski est un drame mettant en scène un personnage historique
Auteur : Jean-Claude Humbert
  
  Interprétation : Elzbieta Jasinska, Solange Htmacher, Laurent Sandoz
    
    Mise en scène :  Maulde Coutau
      Création : La Compagnie Les Fruits Sauvages et l’auteur
      Chorégraphie : Nadine Issacovitch
      Pianiste : Sylviane Baillif-Beux
      Voix off : Marco Polli - Vidéo : Vincent Babel et Léa Payro 
      
      Chargée de Diffusion : Frédérique Longrée
  
   Contact : 06  - E.mail : frederique.longree@gmail.com
    
    Site : www.
  
    
  
23 € Plein Tarif – 16 € Tarif carte off - Cies : 12 €
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Création Festival 2016
  Du 7 au 30 juillet 2016

« Ce n’est point  une nécessité qu’il y ait du sang et des morts dans une tragédie; il suffit  que l’action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les  passions y soient excitées, et que tout s’y ressente de cette tristesse  majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Racine, préface à  Bérénice.
  
  Le futur empereur  Titus aime Bérénice, reine de Palestine, et Bérénice l’aime en retour.  Pourtant, ils doivent se séparer. Ils le savent depuis le début de leur  histoire. 
  La société romaine interdit l’union des empereurs avec les reines  étrangères. Et le père de Titus l’empereur Vespasien meurt : Titus doit accéder  au trône et renoncer à Bérénice.
  
  C’est avec violence  que Racine met en évidence que le mariage est d’abord une affaire politique,  une affaire de patrimoine, une affaire de pouvoir… Pourtant, il réussit à  peindre avec cette tragédie une des plus belles expressions de l’amour. C’est  souvent dans l’absence de l’autre que l’on se rend réellement compte de l’amour  que l’on éprouve.
Et quand cette séparation est définitive et indépendante de  notre volonté, alors « cette tristesse majestueuse » nous inonde et l’on sait à  ce moment précis que nous avons aimé. Et que cet amour durera toujours. 
  C’est dans la  noblesse de l’alexandrin que nous avons voulu peindre avec sincérité et fougue  la beauté du sentiment amoureux. C’est une histoire qui nous touche tous. Les  mots de Racine résonnent encore aujourd’hui avec une incroyable justesse.
  
  Auteur : Jean Racine
Interprétation : Damien Burle, Julien Dervaux, Ophélie Lehmann et Pauline Rémond
  Photographie : Camille Pons 
  Mise en scène : Maxim Prévot  -  Assistant mise en  scène : Christophe Rouger
    
    Chargée de Production :  Pauline Rémond
Illustration :  Clarisse Magaud, tableau, peintures miroirs.
Designer  graphique : Maxim Prévot
Contact : 33 (0)6 84 41 94 11      - Email : cielesrivages@gmail.com 
      Co-Production : Compagnie Les Rivages - Le Verbe Fou
  
  Site : http://
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22 € Plein Tarif –15 € Tarif carte off - Enfants et Cies : 10 €
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    Création belge Festival 2016
    
    Lundi 18  juillet 2016
  
 
  
 
Entrée libre
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    Création Festival 2016
    
    Du 7 au 30 juillet 2016
    
    Relâches les mardi 12, 19 et 26 juillet. 

    « Jonas », c’est l’histoire d’un peintre  qui a toujours cru à son étoile et qui est obscurément convaincu qu’il  obtiendra beaucoup sans jamais rien mériter. Il a épousé Louise, qui lui a  donné trois enfants, et peut compter sur son ami Rateau pour veiller sur ses  intérêts. Mais comment protéger un homme qui se laisse envahir et est incapable  de dire non ?
    Le succès conduit les parasites à envahir son  univers qui va, comme en un Écume des jours sans amour, se réduire petit  à petit. Acculé, presque asphyxié, Jonas connaîtra la descente aux enfers des  hommes, avant de revenir, par amour pour Louise. 
    
    Là, dans un espace minuscule,  il guettera un signe de son étoile et l’inspiration pour une création ultime –  mais indéchiffrable.
Comment ne pas voir dans le destin de Jonas le miroir de celui de Camus ? À l’époque où il écrit son unique recueil de nouvelles, L’Exil et le Royaume, il vit la même contradiction que son peintre : le malentendu du succès dans un Saint-Germain dont l’intelligentsia n’a jamais vraiment accepté ce pied-noir issu du peuple. Au-delà de la nouvelle, c’est toute l’œuvre d’Albert Camus que Vincent Engel convoque pour cette adaptation.
    
    Auteur : Vincent Engel d'après une nouvelle de Albert Camus
    Interprétation : Audrey Devos, Georges Siatidis, Sandrine Henry et Carlos Vaquera
    Musiques : Charles Loos
    Mise en scène :  Vincent Engel assisté de Céline Verlant
      Scénographie : Paolo Pellizzari
      Contact : 33 (0)682211167       - Email : unegrosseboitefrancaise@yahoo.com
        Production : Compagnie Une Grosse Boîte française, d'Argenteuil Prod et Veniz Production
  
23,00 € Plein Tarif –16 € Tarif carte off
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