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Festival
CRENEAUX HORAIRES :
6 au 28 juillet : MARIE23
d'après " La possibilité d'une île
"de Michel Houellebecq
par Hélèna Remeijers Moloek
MARIE23 est une vision sur le futur de l'humanité
et la disparition de l'amour, inspirée du roman
de Michel Houellebecq ' La possibilite d'une île
'.
Helena Remeijers Moloek recherche ce que signifie
être un néo-humain. ‘
Jusqu'à
quel point un néo-humain est il encore un humain
?’
‘Comment vivre l'amour, le manque et l'intimité
si l'on n'a jamais rencontre l'autre ?’
‘Quel est le sens de l'amour quand le besoin de
se reproduire a été remplacé par
le clônage ?’
MARIE23 c'est une rencontre avec un néo-humain.
Par : Helena Remeijers Moloek
Création : Helena Remeijers Moloek et Matthias
Oostrik
6 au 28 juillet : Barai
chom Ast, fragments de femmes de
Myrtille Bastard
par la Compagnie Afikamaya
C'est quoi une femme ?
Et en Afghanistan ?
Une femme ici c'est comme une femme là-bas ?
De quoi rêvent-elles ?
Quels sont leurs quotidiens ?
Par endroit, " c'est très simple de mûrir
pour une femme, le plus dur c'est de vivre ".
A travers la bouche d'une seule, une dizaine de femmes
s'expriment, toutes différentes et pourtant si
proches dans leurs solitudes face au monde.
Par
: Myrtille Bastard
Lumières : Benjamin Guillaume
"
Avec une assurance digne des grands acteurs, la jeune
comédienne a choisi les mots percutants et émouvants..."
Vaucluse Matin - Juillet 2006
"Effrayant. Poignant.(...)...a su trouver le poids
des mots, la légèreté mêlée
de douleur pour dire, traduire sa pensée. Magistral.
Gifle. Electrochoc pour nous, Européens, même
lorsqu'elle parle de la femme en France." La Marseillaire
Varoise - Octobre 2006
Créée en décembre 2006, la Compagnie
Afikamaya rassemble des comédiens issus pour
la plupart du Conservatoire d'art dramatique d'Avignon.
Bien que majoritairement orientée vers le Théâtre,
elle accorde une grande importance aux autres formes
artistiques et principalement à la musique.
6 au 14 juillet : Mademoiselle
Else par Blandine
Robert
Mademoiselle Else doit trouver 50.000 florins pour
sauver sa famille de la ruine. Un vieux monsieur
se propose de les lui fournir, en échange de
quoi il veut "voir" la jeune fille.
Celle-ci commence par se révolter mais, traversée
de désirs obscurs, elle finit par s'y résoudre.
Cela se fera publiquement, le soir dans la salle de
musique de l'hôtel...
Issue du conservatoire d’Art dramatique en Avignon,
après avoir joué « Si
le vent le dit » de Perrine Griselin aux
Trois Pilats Blandine Robert crée ici un spectacle qui
lui a permis d’obtenir
son diplôme d’étude théâtrale.
« Le rôle de cette jeune femme exige
de la comédienne une palette de couleurs variées,
subtiles, changeantes, une grande assurance et un profond
sens de l’humour. »
Les papiers de Vincent Cambier.
Par : Blandine Robert
Oeil extérieur : Pascal Papini
ET
15 au 28 juillet : Les
sons des Cinés par
lessonsdescines asbl
Vivre le cinéma
d'hier, dans les conditions de l'époque...
avec de la musique d'aujourd'hui !
La thématique :
"A la découverte du cinéma
d'avant 1930 appellé " cinéma muet
" à travers le monde"
Accompagné live en improvisation,
par le pianiste de la Cinémathèque Royale
de Belgique, Stéphane Orlando, propose ce cycle
de projection de films d'avant 1930, qui s'adresse
à tous, de 7 à 97 ans et immerge
le spectateur dans tous les genres : le cinéma
primitif (les frères Lumière, Méliès),
dramatique (Jean Renoir), comique (Buster Keaton,
Charlie Chaplin) ou de suspens (Robert Wiene), avec
en prime, beaucoup... beaucoup de surprises...
Une programmation renouvelée chaque jour et
un accompagnement improvisé qui brasse une
multitude d'esthétiques musicales. A voir et
entendre de toute urgence !
CHAQUE JOUR A L ENTREE :
un panneau annonce avec : titre du film ou des films
projetés, les noms de réalisateurs et
minutage.
De cette manière, le projet s'inscrit dans
une démarche historique, pédagogique
mais aussi et surtout ludique !
Au piano
: Stéphane Orlando
Musicien invité surprise, différent
chaque jour
6 au 28 juillet : Huis
clos de Sartre par
le Théâtre de la Clarencière et
le Théâtre d'Une Pièce
Enfermez
ensemble Garcin, Inès et Estelle, et regardez-les
s’affronter à coups de mots : vous connaîtrez
un avant-goût de l’enfer, consumant sans
vergogne les libertés malmenées au contact
des autres. Envoyés post mortem dans un salon
Style Empire sans issue, les protagonistes se trouvent
livrés à leur conscience, jouant de violence
et de lâcheté pour se masquer et se démasquer
l’un l’autre.
Ecrivain de théâtre, de romans et d’essais
philosophiques, le père de l’existentialisme
français privilégie, dans cette pièce
de 1944, les thèmes des rapports humains et de
la liberté qu’ils ont pour nature de compromettre.
« L’enfer, c’est les autres »
: pour chacun, la relation salutaire dans la connaissance
de soi menace de tourner au calvaire et à l’engloutissement
de l’être dans le regard de l’autre,
devenu bourreau. Comment vivre avec autrui ? Comment
mourir par lui, par le bûcher infernal qu’il
incendie autour de nous ?
Telles sont les interrogations que soulève Huis
clos, étonnant tableau de la damnation : «
Alors c’est ça, l’enfer. Je ne l’aurais
jamais cru… Vous vous rappelez : le souffre,
le bûcher, le gril… Ah, quelle plaisanterie.
Pas besoin de gril, l’enfer c’est les autres.
»
Par : Kim Leleux, Frédérique
Panadero et Marc Gooris
Mise en scène : Bernard Lefrancq
Conception et création Affiche : Patrice Fincoeur
Presse
les
3 coups Vaucluse
Matin
7 au 26 juillet : Une
vie en rôle
***** Création Festival 2007 *****
Relâche : 14, 15, 16 et 24 juillet
Une actrice et ses musiciens :Myrtille Bastard (piano)
et Arno Piquerez (contrebasse). Elle retraverse des
parcours de femme artiste : une comédienne de
cabaret, une actrice prête à tout, une
chanteuse de music-hall, une jeune figurante égarée
dans Hollywood, une jeune danseuse… et peut-être
sa vie à elle.
Mais sait-on vraiment qui l’on est, où
l’on va, et ce que l’on cherche quand on
est sur un plateau ?
« Héléna Vautrin a offert « Une
vie en rôle », monologue qu’elle
jette au public, debout au centre de la scène
entre une pianiste, Aline Jandl, et Sylvère Santin,
contrebassiste. Elle entame par un instant comme un
dialogue avec les spectateurs, qu’elle diffuse
avec tendresse, douleur, sensibilité extrême,
où les larmes accrochent le rire, où la
souffrance le dispute à la pudeur.
Son texte est un patchwork de textes de Cormann, Lagarce
et de nombreux passages autobiographiques écrits
par elle-même, mélée aux autres,
évoquant le travestissement, la problématique
de la femme, le regard que portent les hommes sur la
comédienne, le manque d’amour, et cette
éternelle recherche. Emouvant, d’une grande
vérité.
Le degrés de maturité, de réflexion
et d’expression de cette jeune comédienne
est impressionnant. Héléna, toujours sur
le fil rouge d’un équilibre arraché
à la vie comme au rire et aux larmes, dit les
mots les plus touchants, et avec quelle grâce.
A des questions terribles dont « Qu’est-ce
que votre vie ? » elle répondra
comme surprise par l’interrogation, de façon
poignante, comme s’il s’agissait soudain
d’une prise de conscience incongrue, inattendue :
« je sais pas, je sais pas… ».
Et le public sous le choc. »
Claudie Kibler Andreotti
Jeudi 5 Octobre 2006.
Par Helena Vautrin,
Myrtille Bastard au piano,
Arno Piquerez à la contrebasse
Mise en scène : Helena Vautrin
Avec l'aide de : Pascal Papini, Eric Jakobiak et Sophia
Geoffroy
du 7 au 28 juillet :
D'Amour et de lutte d'après les poèmes
de Victor Hugo
par Caroline Personne, David Boumendil et Maud Fournier
Caroline interprète des poèmes
choisis de Victor Hugo. Mis en musique, parfois chantés
et parfois dits, ils évoquent les amours du poète,
ses idées politiques, ses luttes et son génial
romantisme. Victor Hugo, qui affirmait n'avoir d'autre
affaire ici bas que d'aimer, sut dire mieux que personne
les mille et une surprises de l'amour. Ce poète
amoureux épousera toutes les passions politiques
de son siècle jusqu'à son exil qui le
fixera en conducteur des peuples.
Avec tendresse et fermeté, Caroline nous emmène
à la rencontre du poète.
Chant et conception : Caroline Personne
Direction musicale, piano : David Boumendil
Violoncelle : Maud Fournier en alternance avec Anaïs
Belorgey
Création avec le soutien du Sémaphore,
théâtre d'Irigny
du 6 au 20 juillet :
1880 - 1911 de Gaston Couté par
la Compagnie Les Trois Pilats
Gaston Couté poète
paysan est mort en 1911, avant la Grande Guerre de 1914-1918,
il est un écrivain extraordinaire. Il a un sens
flamboyant de la langue et du style. Ces thèmes
sont les politiciens, l'école, l'église
et tous les gens " comme-i-faut ". Il a une
langue âpré et acérée. Il
attaque au ventre, au sexe, au coeur.
" Dans cette pièce, Régis Rossotto
semble parfaitement à l'aise. Il arbore un air
candide, faussement sûr de lui. Il promène
son aisance en osmose avec son frère d'armes
poétique. Il sourit sans cesse, sans doute pour
ne pas montrer son âme qui saigne. Il est très
émouvant, autant par son jeu que par son chant.
Sûr qu'avec ce spectacle la mouésson
et les blés sont blonds "
Vincent Cambier. www.lestroiscoups.com
Par : Régis Rossotto
Mise en scène : Pascal Papini
Co-production Les trois Pilats - Les
Ephémères Réunis (Formation à
géométrie variable)
du 8 au 14 juillet :
" Une mère de l'Est " par
la Compagnie Les Trois Pilats
Une comédienne sur scène.
Deux femmes se parlent. Une mère et sa fille.
C’est un anniversaire particulier, elles ont le
même âge. .L’histoire de l’amour
d’une fille pour sa mère. Elle en parle
en ce jour d’anniversaire où elle atteint
le dernier âge de la défunte. Il faut dire
ces mots que l’on dit trop tard ou que l’on
n’a pas dits. Tout ce que peut amener un deuil,
les remords, les oublis, les élans du cœur.
Cette fille finit par réincarner sa mère
en elle et à s’y identifier. Quand il s’agit
d’une mère de l’Est, cela ne va pas
sans débordements. Une plongée dans un
univers émouvant ponctuée d’humour
à la démesure Moldave
Presse :
« Un lien, un amour qui oscille entre l’attachement
et la haine porté par une fille pour sa mère
: une mère roumaine charmeuse mais étouffante
pour son enfant. Dans cette performance, la comédienne
fait vivre ces deux personnages en les campant tour
à tour. Cette mère qui roulait les «
r » décédée, est glorifiée
par sa fille et nous sommes entraînés dans
une kyrielle de souvenirs touchants ou cocasses. »
La Tribune (mars 2007).
Textes : Erik Clarisse Nicoïdsky,
Bernard Shaw et Béatrice Sprunger
Par : Béatrice Sprunger
ET
du 16 au 25 juillet :
" Ragtime et balivernes " par la
Compagnie La main dans les pâtes
Mime et théâtre inspirés du cinéma
muet
Une atmosphère légère,
début du siècle, une femme avec ses espoirs…
et ses désillusions… et une rencontre !
Sur un air de swing ou de ragtime, se déroule
un drame aussi simple que touchant. Une trace muette
d’une autre époque, mais tellement proche
d’aujourd’hui...
Mlle Parker vit seule dans son appartement, avec comme
bien mince compagnie sa plante. C’est lors d’un
drôlement bête incident qu’elle se
décide à sortir de chez elle et tombe
nez à nez avec un de ces hommes dont on ne sait
s'ils sont joueurs, sincères, filous ou voleurs.
Après
une poursuite effrénée, leur rencontre
fugace prendra dans les esprits de chacun un chemin
bien opposé.
Attrait singulier de l’Amour pour l’une
… désir vorace d’Argent pour l’autre…
À qui le Bonheur ?
Passionnée par le cinéma muet, la jeune
compagnie La Main dans les Pâtes travaille, depuis
avril 2006, à un projet théâtral
inspiré par cet univers cinématographique.
Les personnages créent leur monde par les gestes,
parfois très précis, parfois plus flous,
quand c’est le pathos du mélodrame qui
prend le dessus. À part quelques détails
et les costumes - qui aident à plonger dans une
époque du début du siècle - le
décor est construit et détruit au fur
et à mesure par leur imagination, qui sait partir
pour des allers/retours d’un burlesque paradoxal
et surréaliste.
Mis en scène et interprété par
: Valéria Roveda et Mathieu Maisonneuve
Au piano : Stéphane Orlando
Mise en espace : Erik Valentyn
rovval@hotmail.com
du 7 au 28 juillet :
La leçon de Ionesco par
le Théâtre de la Clarencière
Sous sa plume absurde et acide, une simple leçon
de mathématiques et de français se transforme
en une meurtrière prise de pouvoir.
Pourtant la pièce s'ouvre innocemment sur le
spectacle d'un professeur timide accueillant sa nouvelle
élève, souriante et volontaire. Mais à
mesure que s'avance cette leçon, les rapports
entre le professeur et l'élève vont se
modifier...
Prise de pouvoir politique et sexuel, viol " consenti
et refusé ", acharnement pédagogique
dans un face à face tragi-comique, acide et profondément
absurde.
Par : Frédérique Panadero et Philippe
Sassoye.
Mise en scène : Bernard Lefrancq
Conception et création Affiche : Alain Tholl
de l'Enclos
Presse
La Leçon |
Un
vieil homme et une adolescente.
Un professeur et son élève.
Philippe Sassoye et Frédérique
Panadero.
Un face à face qui représente
l’affrontement ancestral entre le pouvoir
et le savoir opposés à la jeunesse
et son insouciance.
Philippe Sassoye représente l’autorité
qui s’avérera très vite
violente et sans pitié.
Il assène sans ménagement un
enseignement abscons dont on se demande parfois
l’utilité.
Frédérique Panadero est l’étudiante,
avide d’apprendre (ou poussée
par des parents épris d’excellence
?), mais vite lassée par une savante
logorrhée rendue encore plus imbuvable
par un maître sans une once d’indulgence.
Dans une intensité progressive qui
mélange le comique du discours pédant
aux mimiques drolatiques de la gamine rebelle
et excédée par tant de savoir
imbuvable à ingurgiter, Ionesco signe
une pièce qui va se terminer en folie
meurtrière.
Tout à la fois drame loufoque et comédie
amère La Leçon dénonce
l’intransigeance culturelle de la culture,
de l’incompréhension, d’un
certain autoritarisme enseignant.
Le petit espace du Théâtre de
la Clarencière rend encore plus proche
cette tragédie de l’inévitable
délicieusement interprétée
par la primesautière Frédérique
Panadero et Philippe Sassoye qui étonne
par sa connaissance et sa maîtrise sans
faille d’un texte particulièrement
difficile. |
Muriel Hublet Le Plaisir d'Offrir
- 30 avril 2007
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du 6 au 28 juillet :
Le Cri de Marc Weidemann *****
Création Festival 2007 *****
Le
Cri sur scène...
Le Cri est le premier acte qu’on pose à la
naissance… Marc Weidemann a attendu 37 ans pour
pousser le sien. Un texte mûr et fort, qui vous
prend par les tripes et ne vous lâche pas. Un verbe
maîtrisé, préservant son instinct,
servi par un Jean-Noël Delfanne éblouissant
d’émotion et de force. Enfantin, il peut
devenir féroce en deux secondes… «
Il » vous susurre des mots, en vomit d’autres
ou encore vous les jette au cœur, comme seul un comédien
de ventre peut le faire, porté par un auteur en
osmose.
Par-delà le viol, la douleur, la terrible loi du
silence que s’impose un enfant, la fugue, «
Il » devient adulte, se marie, aime et désaime
hommes et femmes, avec passion. Entend-il ses consciences
qui, toutes les deux, semblent plus couardes que porteuses
? Osera-t-il naître chaque soir, prenant le public
comme cordon ombilical vers un monde qu’il craint
et où il se jette à corps perdu ? Le texte
ne peut laisser personne indifférent… Ne
préparez pas votre mouchoir mais votre mémoire.
Nous avons tous un point commun et « Il »
en abuse, mais n’est-ce pas là la puissance
du mot, porté par un comédien qui n’a
pas été chercher son talent sous un paillasson
? Le Cri… Un spectacle dur, optimiste et humaniste
par-dessus tout !
Une partie de l'ensemble des droits et bénéfices
des artistes et de l'équipe sont reversés
à Child Focus
Par : Jean-Noël Delfanne
Auteur - metteur en scène : Marc Weidemann
Assistanat : Vincent Brohez
Créateur de sons : D. Miles
Concepteur cabine : Ludovic Guilmot
Site : www.toutsurlecri.com
Une co-production Centre Culturel d'Evere / Fashionfact
- Avec le soutien de la Communauté Française
de Belgique, de la COCOF, de la Commune d'Evere et d'Actugay.be
Sous le Haut Parrainage de Madame Fadila Laanan, Ministre
de la Culture, de l'Audiovisuel et de la Jeunesse de la
Communauté Française
de Belgique
du 12 au 17 juillet :
Coline Malice en concert
Coline Malice, son accordéon sur le cœur,
est une auteure-compositrice-interprète qui ne
laisse pas indifférent. Tendre, drôle
ou encore impertinente, elle ose explorer avec sa voix
chaude et puissante ce que d’autres évitent :
les profondeurs de l’humain. Coline Malice
a remporté cette année beaucoup de concours
“chanson” en France : le concours Vive
la reprise (12ème édition) qui a eu lieu
au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, le premier
prix du concours Le Mans Cité Chanson (12ème
édition), dans la catégorie “interprète”,
lauréate aux concours "Utopia" (Besançon)
dans la catégorie "Création d'une
chanson" autour d'un thème imposé.
Avec la complicité du Centre de la chanson –
Paris.
Par :
Coline Malice, chant et accordéon diatonique
Antoine Quinet, piano
ET
du 18 au 24 juillet : Lionel Damei en concert |
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Lionel Damei chante. Poète extravagant et humaniste
à la voix chaude
et puissante, il jongle avec les genres musicaux, bouscule
la chanson
entre mirages méditerranéens et nuages
électriques tout droit débarqués
de la planète Pop.
Depuis ses débuts en 1989 au printemps de Bourges,
Lionel Damei a
enregistré quatre albums, dont le dernier, Vacances
en Ville, a vu le
jour en février 2006.
Aux côtés de ses complices musicaux , Guillaume
Saurel au violoncelle
et Claude Duverney-Prêt à la guitare, il
dessine une œuvre profonde et
personnelle, qui éveille en chacun de nous les
résonances familières
d'émotions universelles. Entre humour et gravité,
passion pour la
chanson et tentation toujours présente de la
théâtralité, Lionel Damei
prend son envol dans un danse endiablée mêlée
de tendres enlacements,
et nous ouvre les portes d'un univers hors du commun
…
www.lionel-damei.com
Dans la traidtion des 3 Pilats, la continuité
sera poursuive pour ces Verbiages et Pilateries qui
se veulent un espace de découverte. Que ce soit
de textes, d’auteurs, d’artistes sous des
formes littéraires, de cabaret ou chansonnières,
le principe étant d’ouvrir nos scènes
à des spectacles en devenir ou aboutis.
Mais en tous les cas de laisser un espace de création
tant aux 3 Pilats et aux Ephémères Réunis
en résidence permanente qu’à des
jeunes professionnels ou jeunes compagnies en mal d’un
tremplin au cœur de ce festival bouillonnant.
Chaque soir après 23h00, ils laisseront libre
occasion de s’exprimer à chacun.
Alors découvrez avec nous les dernières
créations de jeunes artistes dans une atmosphère
conviviale.
Programme détaillé sur notre site ou dans
notre programme papier.
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